Toutes Les Femmes S’Appellent Marie : Un Intermède À La Cave Avec Floriane

Une demi-heure plus tard nous faisons notre entrée au restaurant où se trouvent les organisateurs de la course. Après un apéritif, on passe à table. Je laisse les femmes et m’installe plus loin. Elles-même ne s’assoient pas côte à côte pour le plus grand plaisir de leurs voisins et notamment l’organisateur qui place Marie à ses côtés. Toutes les deux jouent se prêtent au jeu de séduction de ces hommes, tout en se jetant par moment un regard qui a dit long à l’observateur attentif que je suis.
Pour ma part j’ai deux problèmes à gérer. Marcel tout d’abord, qui fait la gueule et n’arrête pas de lorgner vers Marie en râlant. L’organisateur s’en rend également compte. Je me charge alors de remplir le verre de Marcel qui ne tarde pas à piquer du nez.
Le second est plus embêtant. Sous la table, la femme de l’organisateur assise à mes côtés, a commencé par frotter sa jambe contre la mienne. Elle est à l’opposé de son mari, bien occupé avec Marie et qui ne se rend bien sûr compte de rien. Devant mon absence de réaction et la fin du repas arrivant, c’est sa main qui se pose sur ma jambe. Je suis sûr que de l’autre côté le mari doit faire de même avec mon amie. Le monde du cyclisme est assez coutumier des « coups d’un soir ».
Généralement les femmes ne sont pas là et ces messieurs s’encanaillent. Ce soir il se trouve que l’organisateur est aussi le restaurateur. Ceci explique la présence de sa femme qui ne se fait d’ailleurs aucune illusion sur les frasques de son mari et voudrait profiter de la situation. L’avantage qu’ont les invités lointains par rapport aux membres du club est justement d’être éloignés et de ne pas rester longtemps ne provoquant pas d’histoires durables localement.
Comme je pense que Marie a très envie de retrouver rapidement Nadia et poursuivre ce qu’elles ont commencé tout à l’heure, elle va repousser les avances du président. Ceci dit, c’est lui qui paye notre hébergement et au cours du discours pour lequel il s’est levé, je me penche vers Marie et lui suggère de lui accorder quelques faveurs tout en lui dévoilant sa préférence pour les femmes.

Je pense qu’il n’insistera pas trop. Pour sa femme, c’est une autre histoire. Sa main est maintenant posée entre mes cuisses et me masse la bite.
La femme est assez gironde. Le décolleté de sa robe laisse voir une poitrine abondante. Des yeux rieurs d’un bleu profond et quand elle se penche vers moi un parfum capiteux qui excite mes narines.
Elle est la sommelière du restaurant aussi nous discutons vins et cépages. A un moment, un membre du club organisateur fait un show comique. Il se trouve à l’opposé de notre table et tout le monde se tourne vers lui. Ma voisine en profite pour prendre ma main et la glisser sous la nappe, entre ses cuisses. J’y découvre directement sa motte poilue. Elle a du se débarrasser de sa culotte. De deux doigts je m’insinue dans son vagin liquoreux et brûlant tout en frottant le plus discrètement possible son clitoris proéminent qui roule sous mon mouvement. Un coup d’œil vers ma voisine et je vois qu’elle se mord les lèvres. Son mari est trop occupé à regarder le show et à lorgner Marie pour se rendre compte de l’état d’excitation de sa femme.
La petite séance du rigolo de service se termine et nous sommes bien obligés d’applaudir en riant. J’ai ainsi l’occasion d’amener ma main à hauteur de mon nez et de sentir les effluves de ma compagne. Cela sent très bon et me donne envie d’y goûter directement avec mes lèvres. J’aperçois alors à l’autre bout de la table Nadia qui me fait un clin d’œil entendu. La coquine s’est rendu compte de notre petit manège et sourit en nous regardant. Je ne dis rien à ma voisine.
Floriane, m’entraîne au sous sol, elle m’a donné son prénom comme un trophée, sous le prétexte de me montrer sa cave (je passe sur la mauvaise interprétation que l’on peut en faire) L’accès se fait par un sas pour éviter les différences de température et une porte protégée par un code secret. Floriane est la seule avec son sommelier, me dit-elle, à connaître ce code.
La cave est assez vaste. Tout autour, des casiers avec les bouteilles rangées et au milieu une table.

A peine entrés, Floriane se colle à moi et m’embrasse.
- « Je suis excitée depuis une heure ! Je coule comme une fontaine ! On a quelques minutes, alors viens me bouffer la chatte et me baiser ! »
Sur ce, elle s’assoit sur le bord de la table écarte ses jambes et relève le bas de sa robe. Je ne suis pas de bois et elle m’excite cette salope. Je plonge mon visage entre ses cuisses charnues et ma langue trouve aussitôt son gros clitoris bandé pour lui provoquer un premier sursaut de plaisir. Je lape sa mouille abondante et me régale. Elle appuie ma tête contre sa motte poilue, mon nez se remplit de ses fragrances et mon visage baigne dans sa liqueur. « Viens ! Prend-moi ! crie-t-elle en écartant ma tête.
Je me relève, ouvre mon pantalon et le baisse suivi du caleçon. Ma queue est tendue. Je me guide de la main et la pénètre sans attendre.
Ses soupirs montent d’un cran et je la baise à fond. Floriane crie fort mais personne ne peut l’entendre d’ici. Ses grosses loches ballottent sous son corsage. Depuis le début de la soirée elles me narguent, aussi je descends la fermeture éclair de sa robe et je sors ses deux belles outres pour les malaxer. Elle prend un pied terrible puis se cabre d’un coup et explose. Il était temps car le sentais venir ma propre jouissance ! Je me laisse aller et jouis fortement à mon tour.
Après ce moment de folie on s’embrasse goulûment. On transpire malgré la fraîcheur de la pièce. Heureusement il y a un distributeur de papier et nous pouvons nous essuyer. Nous nous rhabillons pour retrouver un semble de normalité.
« Ce n’est pas grave. Lance Floriane. De toute façon tout le monde sait ou se rendra compte qu’on a baisé. Moi, ça ne me dérange pas et personne ne dira rien.
Même pas ton mari ?
Lui ? Il ne se gêne pas. Je vais bien rigoler de la veste qu’il va prendre avec ta copine. Elle est gouine non celle-là ? Il sera tellement vexé qu’il n’osera rien me dire. Et puis, il ne se gêne pas quand il est tout seul ? Comme ça tout le monde verra que je ne suis pas la frigide coincée du cul qu’il prétend que je suis ! »
Nous quittons la cave et remontons.
Effectivement quelques sourires en coin montrent que personne n’est dupe, d’autant que nous n’avons même pas remonté de bouteille. Nadia se marre carrément alors que Marie Hélène tente de repousser les avances du lourdaud !
La salle s’est vidée et il ne reste plus grand monde. Marcel cuve dans son coin et je propose de le ramener. Aidé de Nadia et Marie, nous le casons dans la voiture. Le trajet est court mais lui permet malgré tout d’émerger un peu. On le pose sur le lit de sa chambre et il se rendort aussitôt.

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